vendredi 18 décembre 2009

1ers flocons

La vague de froid annoncée est bien arrivée avec ses 1ères chutes de neige tombées ce Vendredi au levée du jour
mais le merle persiste et vient même nous narguer en laissant ses empreintes sur la terrasse

dans ces conditions, la circulation est risquée et la marche recommandée

pour apprécier un autre paysage, qu'on n'a pas l'habitude de voir dans le coin
A voir certaines images, on a bien intuité de prendre la journée
http://www.dailymotion.com/video/xbjgp2_18-decembre-2009-il-neige-je-vais-a_webcam

dimanche 13 décembre 2009

Au dela du Soulcem


Pour une première matinale bien blanche, pour un 12 décembre, il était temps
en courageux, plutôt que de retrouver Joel &co (mais sans son Marseillais) vers Artiés (on ira à la Luna une prochaine fois), nous nous décidons donc à tenter l'aventure solitaire vers la montagne ariégeoise

Arrivée au barrage du Soulcem sous le soleil déjà bien présent pour se garer plus haut en bout de piste prés du poste d'accueil
Et prendre la piste des orris (habitat traditionnel des bergers ariégeois
qui ne s'annonce pas si stable que cela surtout à l'ombre (le trophée Andros pourrait faire bonne figure ici)
les écarts s'imposent pour éviter les chutes douloureuses
heureusement que les passages ombragés ne s'éternisent pas
en prenant de l'altitude, le paysage se découvre sur la vallée
sur le pla du Laminas avec sa cascade
pour se retrouver au point d'intersection de plusieurs randos où la direction du Roumazet sous la neige n'est pas claire et nous amène dans une mauvaise interprétation à essayer de grimper le long de ruisseau à deviner


au plus raide comme indiqué dans un guide,
à s'accrocher aux touffes qui dépassent, pour stopper enfin notre escalade au pied du rocher, au niveau de l'arbre,

pour effectuer un retour sur nos pas,















et reprendre des forces, pour repartir aprés avoir retrouvé le marquage;

l'ascension par le sentier pentue (moins que l'escalade effectuée précedemment),demeurre toute aussi fatiguante avec les trous à faire dans la neige pour rester en équilibre et avancer avec prudence aux passages en corniche;

L'effort mérité est récompensé avec ces traces d'animaux surement d'un isard qui a laissé ses empreintes
La neige plus importante sur le pla nous incite à la prudence,
le soleil se couchant derrière les sommets, nous rappelle qu'un 1/2 tour est préférable pour en profiter une prochaine fois.

L'ivresse des cîmes ne nous fera pas perdre raison, et la descente sera bien plus rapide (étonnant, non?) et sans aucune difficulté; seul le froid qui nous tombe dessus (-5°) nous rappelle qu'on est enfin en hiver.La fin de la balade passe par les cascades de glaceet sur la patinoire de verre

en terminant par le passage "urbain" des bergers utilisant la matière première du site

Quel bonheur d'être isolé dans des conditions de pureté (ciel dégagé sans aucun nuage, aucun bruit d'effervescence à troubler la quiétude des lieux, juste bercé par l'écoulement de l'eau sur quelques pierres - Zen attitude en plein air), et quel bien-être physique aprés un tel bol d'air;

Nous ne saurions évidemment trop le recommander, autrement foule se retrouverait ici à la place de courir les commerces;

J'attends l'autorisation d'un montagnard pour vous mettre à disposition un lien sur son site de randonnées

En l'absence de réponse, je me suis permis d'intégrer le lien vers son site (il ne m'en voudra surement pas de lui en faire la pub; quand cela se mérite, autant le faire)

vendredi 4 décembre 2009

bûche banane-chocolat

C'est en effet sous ce nom là que nous avons découvert ce gâteau lors d'une fête familiale de fin d'année, réalisé sous la baguette du chef qui m'a donné naissance, mais qui aujourd'hui doit lutter contre une tuile qui l'épuise;

Comme le succés a été à la hauteur, et la demande insistante pour obtenir la recette, voici les ingrédiens et la préparation, sachant que le savoir-faire est souvent difficile à transmettre par écrit :

Pour 6 personnes:
150 gr de beurre
150 gr de sucre
300 gr de farine
2 oeufs
1 sachet de levure
1 sachet de sucre vanillé
3-4 bananes bien mûres

Dans un saladier,
Mélanger le beurre fondu, le sucre et les oeufs
Ajouter la farine, la levure, et le sucre vanillé, puis les bananes écrasées
Beurrer et fariner une moule à cake
Verser y la préparation
Cuisson de 55 à 60 ' à 175°
Démouler à froid

Glaçage:
115 gr de chocolat
30 gr de sucre glace
4 cuillère à soupe d'eau
30 gr de beurre

Faire fondre le chocolat au bain-marie, avec le beurre et l'eau
Ajouter le sucre
Mélanger vivement

Bonne dégustation

samedi 28 novembre 2009

Rafting Hot dog

Pour débuter un week-end de cet fin Aout 2009 en l'honneur de Véro
(Véronique n'est à utiliser seulement quand on n'est pas satisfait de quelque chose pour laquelle elle est partie prenante, ce qui est assez exceptionnellement rare à vrai dire!!!)
pour fêter dignement son demi siècle qu'elle porte comme un charme;

Comme elle a été toujours assez dynamique, on ne va pas faire une belote, mais plutôt une activité qui bouge en l'occurrence une descente de la garonne en rafting et en hot dog;

Pour cela, et eviter des désagréments physiques (hypothermie - l'eau est à 13°; chocs avec des rochers et cailloux à fleur d'eau),
une bonne protection des plus saillantes est exigée

On n'est pas des charlots, mais on assure un max pour défiler sur l'eau,avec combi, casque, et gilet de sauvetage, n'est-ce pas Satanas???
La brochette de gaillards prêts à affronter les rapides et courants de la rivière
sur des boudins de caoutchouc,en les espérant assez résistants (au passage, un encart publicitaire pour la base de Fronsac)
embarcation menée de mains de maître par Tony (qui a joué des pectoraux au départ pour impressionner les filles, et ridiculiser les mâles, mais on en a vu d'autres)
les 3 artistes qui se sont livrés à de magnifiques figures incontrolées aux passages des rapides, ponctuées par des passages à l'eau évidemment
Tout le monde est bien rentré à la base, certains un peu refroidis, mais satisfaits de la balade arrosée



dimanche 15 novembre 2009

En cette période d'entre deux saisons, à la mi-novembre (le 15 pile) pour éviter de faire trop de kilomètres vers les sommets, ou les flots agités, nous invitons donc les valides et disponibles à visiter notre coin sur les côteaux et les sous-bois du lauragais. La journée commence par un ciel bouché qui n'augure rien de bien clément. La météo nous laisse un espoir pour plus tard; sera-t-elle à la hauteur? Aprés un petit-déjeuner aux croissants de la boulangère, un peu retardé car Martine est sûre de connaître la route, mais seulement avec un bon détour (un tour en Alfa en récompense pour rentrer),sans oublier un rapide bonjour à nos voisines,la troupe s'élance gentiment en évitant une grosse difficulté d'entrée : on prendra la descente plutôt que la côte pour s'échauffer. Les premiers exercices pour tester le niveau de chacun avec le franchissement d'un peuplier qui n'a pas résisté à la force du vent ou au poids de son âge.
Le passage dans ce secteur en bord de ruisseau ne se rélève pas trop gras, et se fait sans glissade avant de reprendre le dur













Avant de faire une halte devant un des éléments du patrimoine du PASTEL (Patrimoine Agricole et Savoir Technologique En Lauragais)
Sur le parcours champêtre, nous rencontrons d'autres moyens de locomotion d'autres qui nous attendent avec impatience pour nous tenir compagnie quelques instants (ou vice-versa)les croix de Saint-André qui la portent dur le dos nous font les yeux doux sous le regard bienveillant de l'ainéBien que les estomacs commencent à se manifester devant une telle cueillettele chemin bien balisé (super dénivellé)passe par une halte de recceuillement à l'oratoire de notre dame des boisune dernière indication à la sortie d'un passage en sous-bois plus délicat pour rejoindre une bonne table en bordure d'ariège qui se révèlera un bon emplacement pour vivre en direct


un chavirage de canoe, à l'occasion d'une compétition régionale,relevée par la présence de compétiteurs de niveau national;

alors que Christine se jette à l'eau pour sauvegarder la nature

Ceux qui passeront à la baille, surtout au passage de la difficulté (rapide à la cascade au fort courant) ne figurent pas parmi les vainqueurs; Et certains le prennent avec philosophie,

ce qui permettra à Véro d'apprécier de plus prés ses yeux verts pendant qu'elle l'aidera à se remettre la jupe (le monde à l'envers).

Aprés cet intermède sportif, et surtout une fois le café et chocolat terminés, il nous reste pour digérer à arpenter le chemin du retour à travers d'abord le sentier botanic en occitan, pour atteindre les hauteurs de Clermont le fort, pour avoir la vue sur la vallée (malheureusement au loin les Pyrénées sont dans la brume), admirer son clocher et son puits, avant d'écourter les souffrances de Didier, malgré le vent d'autan de face qui se lève. Nous éviterons les plombs que le sanglier a reçu lors de la battue (les chiens ont les oreilles pendantes de fatigue), pour nous retrouver à reprendre les forces nécessaires pour terminer le week-end avec quelques gateries maison (dont nous fournirons quelques recettes prochainement).

Voici un lien qui reprend une partie de notre circuit seulement :

http://www.sicoval.fr/documents/randonnees/ND-des-Bois_boucle.pdf



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15 Août 2009

(pas trés fraîche comme nouvelle, mais je profite d'un peu de temps pour rattraper le retard,même si cela n'est pas dans l'ordre)

Pour fuir la chaleur ambiante (~40°), une escapade vers les hauteurs des pyrénées s'impose, et nous mène à la sortie de Bagnères de Bigorre, sur la route du Tourmalet vers le lac de Peyrelade.
La température dés les premiers lacets se fait plus respirable pour descendre à 19° dès les premiers pas en sous-bois au frais.

Cette balade peu longue, l'aprés-midi sera suffisante sous le regard de l'observatoire du pic du midi





La montée demande quelques efforts le long du ruisseau qui rafraichit correctementle premier comité d'accueil est tranquillement installé Cette présence nous indique l'arrivée prochaine à proximité du lac

Juste au-dessus, mais sans se mélanger avec le troupeau de vaches, les chevaux paissent et lèchent le sel


en bordure du lac, où les adeptes de la pêche passeront la nuit à la fraîche puisque la pluie nous arrose à notre arrivée

Au pied de la falaise, le 1/2 tour s'impose en prenant plus de précaution à cause de la pluie sur les pierres devenues glissantesNous croiserons pendant la descente quelques courageux pour aller passer la nuit au lac,
et retrouverons Bagnères avec la chaleur(30°) et aucune trace de pluie!!!